VISAGES DE CUBA
VISAGES DE CUBA
Du 24 au 30 septembre
Lalbenque, Limogne-en-Quercy, Cremps, Flaujac-Poujols
RENSEIGNEMENTS : OFFICE du TOURISME LALBENQUE
05 65 31 50 08 et LIMOGNE 05 65 24 34 28
EXPOSITION PHOTOGRAPHIES
COULEURS de CUBA
NINA ADLER, photographe
NINA ADLER, photographe
Médiathèque de Lalbenque du 11 au 29 septembre, aux heures d'ouverture de la Médiathèque
La Halle ( Mairie de Lalbenque )
du 19 au 29 septembre
horaires :
samedi 9h-13h
dimanche 10h30-12h30
mardi,jeudi et vendredi , 16h-18h30
mercredi , 10h30-12h30 et 14h-18h30
VERNISSAGE et OUVERTURE de la semaine, LUNDI 24 SEPTEMBRE 17h30
La Halle ( Mairie de Lalbenque )
ALEJANDRO DEL VALLE , pianiste et écrivain CUBAIN
Pianiste cubain, il a travaillé avec des formations très variées.
Depuis toujours, au cours de ses voyages divers, trottent dans
sa tête des mélodies jazz, des compositions contemporaines.
Cette oeuvre fait partie intégrale du Jazz, mais elle trouve toute
son originalité grâce aux rythmes latins où il est impossible de
la rattacher à un seul style musical, ceci étant dû aux diverses
influences de l’auteur.
L’objectif musical est de rompre avec le jazz traditionnel
typiquement nord-américain avec ses structures harmoniques
auparavant nouvelles et aujourd’hui infiniment
conventionnelles et académiques.
Tarif : 12 €
à partir de 14h
Mediathèque LALBENQUE
Rencontres et Présentations des livres de 2 écrivains Cubains , Joel Franz Rosell et Alejandro Del Valle
JOEL FRANZ ROSELL, AUTEUR ET ILLUSTRATEUR CUBAIN
consultez son blog http://auteurjeunessedecuba.blogspot.com/ vous y trouverez le détail de touts ses publications et de ses actions avec les enfants
auteur jeunesse de cuba
PETIT CHAT: ma série pour les tout-petits
Plus d’une fois j’ai pu constater le ravissement avec lequel enfants et parents reçoivent les titres de la série Petit Chat (Hongfei-Cultures. Amboise, 2016). La tendresse, la clarté, la grâce des illustrations de Constanze v. Kitzing, tout comme les titres délibérément simples, ne les trompent point : il ne s’agit pas, une fois de plus, de présenter de façon facile et rassurante l’univers de la petite enfance.
Les expériences quotidiennes sont de grande importance pour les tout-petits, mais je suis conscient qu'elles ne sont pas les seules ni les plus marquantes dans la vie de mes plus jeunes lecteurs. Dans ces histoires je montre bien plus que le choix des vacances, le jeu avec la neige ou avec un ballon trouvé sur le trottoir. Tout comme dans la vraie vie, ces simples aventures peuvent aider le jeune enfant à accomplir, en compagnie de mes personnages, l’apprentissage de la société : la valeur du partage, la différence qui ne divise pas, la joie d’être ensemble…
La Légende de Taïta Osongo peut nourrir la réflexion et susciter la discussion à propos de thématiques liées à l’esclavage. Ce roman n’affiche aucune ambition pédagogique ni même d’intention prosélyte et c’est justement pour cela, je crois, qu’il peut faire naître le débat avec – et entre – les jeunes sur le racisme et la discrimination, l’exploitation sauvage des êtres humains, l’injustice ou le colonialisme, des sujets d’une actualité toujours brûlante.
Le noyau dramatique du roman est constitué par les amours interdites entre deux adolescents que tout sépare : il est noir et elle est blanche, il est pauvre et elle est riche, il n’a aucun droit, car il est esclave, et elle a, parce qu’elle appartient à l’élite, tous les droits… sauf le principal : celui d’aimer librement et d’être aimée par la personne de son choix.
Le noyau dramatique du roman est constitué par les amours interdites entre deux adolescents que tout sépare : il est noir et elle est blanche, il est pauvre et elle est riche, il n’a aucun droit, car il est esclave, et elle a, parce qu’elle appartient à l’élite, tous les droits… sauf le principal : celui d’aimer librement et d’être aimée par la personne de son choix.
(extrait d'une intervieuw)
L'oiseau-lire est une fable nouvelle autour de la lecture. C'est aussi une parabole de ce rêve de tout auteur de voir ses livres arriver aux lecteurs.
Il s'agit d'un livre décide de quitter la bibliothèque où il ne rencontre pas assez de lecteurs. Il apprend à voler, puis à parler pour finir conteur sur la place en face de la bibliothèque. L'édition espagnole a été récompensée à Cuba comme l'un de meilleurs livres pour la jeunesse de l'année.
version originale: "El pájaro libro". Ediciones SM, 2002. Illustrations: Ajubel. Prix national d'illustration. Espagne, 2003 |
Pour une version cubaine illustré en couleurs et demeurée inédite j'avais conçu cette illustration:
illustration de l'auteur, inédite |
Soirée / Débat
avec : Bertrand ROSENTHAL,
Joel Franz ROSELL ,
Alejandro DEL VALLE
La culture cubaine et l'histoire récente
Cette soirée sera interactive . Elle nous permettra de découvrir la "cubanité" avec 2 écrivains cubains et un témoin d'une forte personalité .
Participation libre
Participation libre
Bertrand Rosenthal
Journaliste et écrivain, Prix Albert Londres
Journaliste reporter pour l’Agence France Presse depuis 1978 , Bertrand Rosenthal fut directeur du bureau de l'AFP à La Havane de 1987 à 1992
Il a coécrit avec Jean-François Fogel, l’enquête « Fin de siècle à La Havane, les secrets du pouvoir cubain (Le Seuil, 1993), unanimement salué par la critique française et internationale.
Reporter de guerre en Irak, en Afghanistan, au Soudan entre autres, Bertrand Rosenthal a reçu le prix Albert Londres avec le bureau AFP de Moscou pour la couverture du conflit tchétchène.
Il a terminé sa carrière comme directeur de l'agence pour le Mexique et l'Amérique Centrale.
lien : https://www.dailymotion.com/video/xcqfix
http://www.ameriquelatine.msh-paris.fr/spip.php?article434
https://www.youtube.com/watch?reload=9&v=3LL_wxYzLVQ
Bertrand Rosenthal est également l’auteur de « C'est toujours la vie qui gagne, récits de reporter » réédité en 2015 aux Editions Helvétius. Ce livre est plus exactement un recueil parsemé de chroniques qui sont imprégnées de souvenirs cocasses et parfois effrayantes.
lien : https://www.dailymotion.com/video/xcqfix
http://www.ameriquelatine.msh-paris.fr/spip.php?article434
https://www.youtube.com/watch?reload=9&v=3LL_wxYzLVQ
MERCREDI 26 et JEUDI 27 SEPTEMBRE
Joel Franz ROSELL rencontrera des élèves su primaire et du secondaire de la Communauté de Communes
consultez son blog http://auteurjeunessedecuba.blogspot.com/ vous y trouverez le détail de touts ses publications et de ses actions avec les enfants
auteur jeunesse de cuba
LE SITE DE JOEL FRANZ ROSELL AUTEUR et ILLUSTRATEUR CUBAIN POUR LA JEUNESSE EN FRANCE
Tarif : 6 € , 3 € enfants - de 18 ans
Durée 108
mn
Nationalité
: cubain
Avec Armando Valdes Freire (Chala) , Alina Rodríguez (Carmela) , Amaly Junco (Yeni) ... Voir la distribution
Année :
2014
Synopsis
A Cuba, Carmela est enseignante depuis de nombreuses années. Dans sa
classe, elle distingue Chala, un garçon de 12 ans à l'histoire difficile. Sa
mère, qui s'occupe seule de lui, lui témoigne peu d'attention et d'affection.
L'adolescent, pour gagner de l'argent, élève des chiens de combat. La vie de
l'enfant querelleur change quand il se rapproche de Yeni, une de ses camarades
de classe. Quand Carmela est victime d'une crise cardiaque, elle est remplacée
par Maria, qui doit apprendre à connaître les élèves...
Critique du 01/01/2017
Par Cécile Mury
Chala, 12 ans et des poussières, court
tout le temps : dans les rues brûlantes de La Havane, dans les escaliers
décrépits de son immeuble, dans les couloirs de son école. Le film entier
semble possédé, galvanisé par cette énergie brute. Et pourtant, sur le papier,
le quotidien de ce Gavroche latino n'a rien d'exaltant. Tout seul avec une mère
toxico, perpétuellement hagarde ou fracassée, il est à un cheveu de la
délinquance. Sauf que le réalisateur (et auteur) du film s'éloigne résolument
du mélo social, en choisissant la gouaille plutôt que le désespoir. Et puis il
y a l'autre héroïne du film : Carmela, la maîtresse d'école, du genre qui vous
marque à vie. Pilier du quartier, adorée des élèves, elle rattrape des gamins
par la peau du cou, comme des chiots perdus. On pense sans cesse à L'Argent de
poche, de Truffaut : même vivacité, même fraîcheur naturaliste, et surtout même
réponse impertinente, gorgée d'espoir, à la violence du monde des adultes. —
C.Mu.
Télérama
avec
Aniurka BALANZO et Antoine JOLY vivent
entre Paris et Santiago de Cuba.
Tous deux forment un couple de danseurs
totalement représentatif de l'âme cubaine et de la salsa de la rue. Vivant
plusieurs mois par an à Santiago de Cuba, au plus près des danseurs et de la
vie cubaine, ils enseignent également dans de nombreux stages en France et en
Europe.
Ils sont très appréciés pour leur dynamisme et leur convivialité sans faille.
Ils sont très appréciés pour leur dynamisme et leur convivialité sans faille.
Aniurka BALANZO est née à Santiago de
Cuba.
'Elle est diplômée de l'Ecole Nationale
des Arts, 1er prix en chorégraphie. Ancienne 1ère danseuse du Ballet
Folklorique de Santiago, on la retrouve en France notamment chorégraphe,
danseuse et comédienne dans le film "Salsa". Reconnue pour son
enseignement, ses qualités de danseuse et son énergie, Aniurka Balanzo défend
et met toujours en valeur le rôle de la Femme dans la Salsa Cubaine. Elle
transmet sensualité mais aussi simplicité lorsqu‘elle enseigne.
Surnommé le Cubain blanc, Antoine
Joly s'est formé à la salsa cubaine dans les quartiers de Santiago de Cuba
depuis 1997. Il a passé plusieurs années à Cuba afin de comprendre cette sauce
cubaine et tous ses ingrédients et continue d'y vivre 4 à 5 mois dans
l'année.
A travers son enseignement et une énergie hors du commun, nous retrouvons cette bonne humeur de la rue, mais aussi la volonté de développer un style propre à chacun : le reflet même de la salsa cubaine de la rue.
A travers son enseignement et une énergie hors du commun, nous retrouvons cette bonne humeur de la rue, mais aussi la volonté de développer un style propre à chacun : le reflet même de la salsa cubaine de la rue.
Antoine Joly est depuis 2001 le
fondateur de L'EXPÉRIENCE SALSALOCA (déjà 28 éditions).
- Stage salsa a la cubana en immersion totale
- Séjours Salsa en vivo a Cuba (Santiago de Cuba)
Tarif : 15€
http://www.danses-darc.com/fr/stage-international/les-professeurs/aniurka-balanzo-antoine-joly
Tarif : 12€
Tarif : 6 € , 3 € enfants - de 18 ans
Nous clôturerons le Festival à la Médiathèque de Lalbenque avec NINA ADLER qui nous présentera son travail de photographe à Cuba et son exposition après le film.
¨
Pour en savoir plus :
http://www.danses-darc.com/fr/stage-international/les-professeurs/aniurka-balanzo-antoine-joly
- Stage salsa a la cubana en immersion totale
- Séjours Salsa en vivo a Cuba (Santiago de Cuba)
Tarif : 15€
http://www.danses-darc.com/fr/stage-international/les-professeurs/aniurka-balanzo-antoine-joly
et avec l'AssocCadurcienne http://www.siempre-salsa.com/stages.php
Tarif : 12€
En 1994, Vincent Laffaire, musicien et enseignant largue ses amarres musicales et met le cap sur La Havane. Durant un an, il s’immerge totalement dans la luxuriante culture cubaine qui offre un extraordinaire métissage des continents africain, américain et européen. Dans ce creuset artistique magique, ses rencontres et son travail avec les musiciens de la Havane : Rodolfo Peruchin Argudin, Joseito Gonzales, Wicho Rodriguez, Ivan Melon Gonzales, Giraldo Piloto Barreto, lui permettent de découvrir et de pratiquer la salsa cubaine.
De retour en France, il rapporte dans ses valises ces sonorités exaltantes qu’il partage et propage passionnément avec des musiciens français et cubains principalement installés en Midi-Pyrénées et en Limousin.
Un premier disque «Un consejo sano» est enregistré en 2006 à Toulouse. Un deuxième, intitulé «No aguanto mas», est le résultat d’une collaboration avec Yusef Diaz, compositeur et co-producteur de l’orchestre Klimax. Il est enregistré début 2010 à Toulouse et à la Havane puis mixé au studio EGREM à La Havane.
Salle Communautaire LALBENQUE - 16h
Chico et Rita » film de Fernando Trueba et Javier Mariscal
Film d’animation 2010 - 93mn -
Soirée avec ciné-Lot et Lolita Todeschini ( doctorat de cinéma latino-américain - université de Bordeaux )
Chico et Rita » film de Fernando Trueba et Javier Mariscal
Film d’animation 2010 - 93mn -
Soirée avec ciné-Lot et Lolita Todeschini ( doctorat de cinéma latino-américain - université de Bordeaux )
Tarif : 6 € , 3 € enfants - de 18 ans
CHICO et RITA
La Havane, 1948, Rita Martinez est une chanteuse de jazz à la voix
envoûtante. Chico est un jeune pianiste qui fait la fête avec son ami Ramon au
Tropicana. Alors qu'il remplace le pianiste malade, le jeune homme impressionne
la belle chanteuse. Charmée, Rita se laisse séduire par Chico, qui passe la
nuit avec elle. Mais au petit matin, le rêve se brise lorsque Juana, la petite
amie de Chico, arrive. Le duo musical décide tout de même de passer un concours
radiophonique et remporte un contrat avec l'Hôtel National. Là, Ron, un
producteur américain, repère la jeune chanteuse et lui propose de le suivre à
New York. Persuadée que Chico est amoureux de Juana, Rita accepte...
Critique du 19/10/2013
Par Pierre Murat TELERAMA
| Genre : Cuba, sí !
Chico et Rita sont les héros animés d'un
film chaleureux, à la fois euphorisant et mélancolique, qui part de La Havane,
passe par un Paris postexistentialiste pour aboutir à un New York bleu
métallisé, où, à la poursuite de Rita, devenue une star de jazz, débarquent, un
beau jour, Chico et Ramón, son soi-disant imprésario : pauvres petites
silhouettes glacées, réchauffées soudain par la musique échappée d'une cave où
joue, au milieu de la nuit, pour ses fans, encore peu nombreux, le grand
Charlie Parker...
Visuellement, le film est inventif. Musicalement, c'est une petite
merveille. Un hymne à la modernité et à la gaieté de la musique latino (même
l'enterrement d'un percussionniste célèbre est transfiguré par une samba
frénétique...). Un hymne au jazz, aussi : comme le héros intègre les plus
grands orchestres de l'époque, Trueba et Mariscal ont cherché des musiciens —
le trompettiste Michael Philip Mossman ou le saxophoniste Jimmy Heath —
capables de recréer la vitesse acrobatique de Dizzy Gillespie ou la sensualité
ouatée de Ben Webster. Réussite totale. L'intrigue, elle, rappelle les mélos
hollywoodiens de Vincente Minnelli et de George Cukor. Notamment avec cette
scène où Rita brise net sa carrière en dénonçant le racisme soigneusement caché
de tous les hypocrites venus l'acclamer. On songe aux chanteuses de l'époque,
Billie Holiday en tête, triomphant dans des palaces, lesquels, parce qu'elles
étaient noires, refusaient de les loger... — Pierre Murat
¨
Pour en savoir plus :
http://www.danses-darc.com/fr/stage-international/les-professeurs/aniurka-balanzo-antoine-joly
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